Vendredi dernier, au début du chassé-croisé entre juillettistes et aoûtiens, «Libération» s’est incrusté chez les community managers de la SNCF, chargés d’informer, de rassurer et parfois de supporter les usagers.
Pour maîtriser ses échanges avec les voyageurs sur les médias sociaux, la SNCF a décidé, en 2008, de diagnostiquer et d’organiser sa présence sur le Web.
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